Birmanie a montré des signes de changement en 2011, mais le gouvernement toujours pas réussi à se pencher sérieusement sur la situation désastreuse des droits humains dans le pays. Le nouveau gouvernement, composé majoritairement d'anciens généraux, a libéré des centaines de prisonniers politiques, les lois promulguées sur la formation des syndicats et de la liberté de réunion, assoupli la censure des médias officiels, et a modifié les lois permettant la Ligue nationale pour la démocratie pour vous inscrire en tant que parti politique. Cependant, les conflits ethniques a augmenté et l'armée birmane continue à commettre des exactions contre des civils tels que le travail forcé, d'exécutions extrajudiciaires, violences sexuelles, l'utilisation de «boucliers humains», et les attaques aveugles contre des civils.
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